jeudi 3 octobre 2013

La Girafe estivale (Tullins, 28-29 juin 2013)

Tullins, 28-29 juin 2013

La Girafe estivale, c'est le festival de musique et arts de rue de Tullins, une création de FADER en coopération avec la mairie de Tullins. La girafe, c'est un festival gratuit, tout public, fait pour que tout le monde se rencontre, bénévoles, artistes, techniciens, et spectateurs de tous âges.

Comment fabrique-t-on une Girafe estivale ?

On fait un beau planning.

On se fait livrer du matériel, on en fabrique.

Evidemment, il faut quelques girafes...

On re-vérifier les plannings sous le contrôle de la Girafe Elle-Même.

On installe du matos technique.

On implique des hommes forts,

les meilleurs spécialistes du son,

les publicitaires de Contratak spécialisés dans le graf.

On prépare de la bouffe pour nourrir les bénévoles, les techniciens et les artistes, tous aussi affamés les uns que les autres.

En fait, on prépare beaucoup de bouffe !

On allume les lumières dans le superbe clos des Chartreux de Tullins pour faire signe au public que ça va commencer, et qu'il faut venir.

 On envoie Lull en première partie du vendredi,

 avec un batteur, bien sûr.


 En tête d'affiche du vendredi, Mountain men. Ca, c'est du blues !!!

 Mountain men, c'est un super guitariste-chanteur

 et un harmoniciste aussi doué que déjanté,

 mais terriblement sympa.




 Et puis, le samedi, patatras, il pleut, alors les spectacles d'art de rue prévus l'après midi en ville sont annulés. Quelques uns sont rapatriés dans une salle mise à disposition au pied levé par la mairie.

 Le pompier Inko'Nito est un peu dépassé par les évènements.

 Les Tulliner's ne se laissent pas démonter par la pluie et nous font de la musique irlandaise endiablée.

Tous les méfaits du livre et de la lecture argumentés par Les chercheurs d'air.

 La compagnie du Fil à retordre. L'air de rien, ils sont super forts.

 Immo, l'homme qui joue de l'harmonica avec trois balles de ping-pong dans la bouche. Encore un qui est in-photographiable tellement il bouge, mais son numéro a scotché tout le monde.

 Le soir du samedi, les dernières gouttes tombent alors que Yoanna se lance,

 avec la violoncelliste qui l'accompagne.


 Puis, c'est la tête d'affiche du samedi, la brésilienne Flavia Coelho.

 Très difficile à photographier, cette dame, du moins pour moi. Elle bouge, elle danse sans arrêt (normal, c'est une brésilienne), et en plus, elle a beaucoup de cheveux qui lui cachent le visage.





Et puis, quand c'est fini, on démonte tout, tout, tout, on fait 10 fois le tour de la pelouse pour voir si on n'aurait pas oublié un papier de chewing-gum ou un petit morceau de gaffer, et le dernier morceau qui part, c'est le groupe électrogène. Un petit coup de pub pour Locawatt : ils sont sympa, et ont du super matériel bien adapté au spectacle (fiable, très bien régulé, et silencieux).

RDV l'année prochaine !

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